PRIMAL SCREAM "Can't Go Back"
THOSE DANCING DAYS "Run Run"
HEMME FATALE "Peryglus Lucifer"
KELLEY POLAR "Magic dance"
MGMT "Electric Feel" (Justice Remix)
MOBY "I Love To Move In Here" (Holy Ghost! Remix)
LITTLE JACKIE "Crying For The Queen"
NINA SIMONE "Take Care Of Business" (Pilooski Edit)
KRAAK & SMAAK "Squeeze me" (ft. Ben Westbeech)
THE BPA "Toe Jam" (ft. David Byrne and Dizzee Rascal)
SONNY J "Belly bongo"
GIRL TALK "Drop It"
Télécharger l'émission
Emission Rock, Electro, Hip Hop etc sur Radio Galere 88.4 (Marseille et environs), diffusée chaque mercredi à 22 h, reprise prévue le 1er Septembre.
"Hot Fidelite" is a weekly podcast in French providing some of the best new music from indie to electro and hip-hop. Hopefully back on September 1st
26 juin 2008
18 juin 2008
Emission du 18 Juin 2008
LADYHAWKE "Paris is burning"
SANTOGOLD, CASABLANCAS, N*E*R*D* "My Drive Thru"
TILLY AND THE WALL "Beat Control"
QUITZOW "Better Than Ever"
HEMME FATALE "Animal Lover"
SONNY J "Handsfree"
FAKE BLOOD "Mars"
KID CUDI "Day 'N' Nite" (Crookers Remix)
ESTAW "Break It Down" (Ft. J-Cast)
DIZZEE RASCAL"Dance Wiv Me" (ft. Calvin Harris)
LIL WAYNE "Dr Carter"
BUMCELLO "One Two Three" (ft. Blackalicious)
Télécharger l'émission
SANTOGOLD, CASABLANCAS, N*E*R*D* "My Drive Thru"
TILLY AND THE WALL "Beat Control"
QUITZOW "Better Than Ever"
HEMME FATALE "Animal Lover"
SONNY J "Handsfree"
FAKE BLOOD "Mars"
KID CUDI "Day 'N' Nite" (Crookers Remix)
ESTAW "Break It Down" (Ft. J-Cast)
DIZZEE RASCAL"Dance Wiv Me" (ft. Calvin Harris)
LIL WAYNE "Dr Carter"
BUMCELLO "One Two Three" (ft. Blackalicious)
Télécharger l'émission
11 juin 2008
Emission du 11 Juin 2008
CSS "Left behind"
LADYHAWKE "Paris is burning"
THE VIRGINS "She's Expensive"
HOLY HAIL "Cool Town Rock"
FREE BLOOD "The Royal Family"
WALTER MEEGO "Keyhole"
SOPHIE ELLIS-BEXTOR "Heartbreak Make Me a Dancer"
ANNIE "I know Ur girlfriend hates me"
AUDIO BULLYS "Gimme that punk"
HADOUKEN! "Crank it up"
DIZZEE RASCAL"Dance Wiv Me" (ft. Calvin Harris)
ROOTS MANUVA "Buff nuff"
GIANT PANDA "Speakers Pop"
LEILA "Ur Train" (with Luca Santucci)
Télécharger l'émission
LADYHAWKE "Paris is burning"
THE VIRGINS "She's Expensive"
HOLY HAIL "Cool Town Rock"
FREE BLOOD "The Royal Family"
WALTER MEEGO "Keyhole"
SOPHIE ELLIS-BEXTOR "Heartbreak Make Me a Dancer"
ANNIE "I know Ur girlfriend hates me"
AUDIO BULLYS "Gimme that punk"
HADOUKEN! "Crank it up"
DIZZEE RASCAL"Dance Wiv Me" (ft. Calvin Harris)
ROOTS MANUVA "Buff nuff"
GIANT PANDA "Speakers Pop"
LEILA "Ur Train" (with Luca Santucci)
Télécharger l'émission
7 juin 2008
Seconde Nature
6 Juin 2008, Aix En Provence
A coté de l'amphitéatre et du bar il y a des projections vidéos et des animations très art-contemporain-on-comprend rien avec notament un gars dans une énorme bulle, euh oui, on va passer directement aux concerts.
Le groupe qui débute est celui pour lequel je fais principalement le déplacement, Chromatics truste en effet ma platine depuis des mois et c'est une vraie joie que leur première date Française soit dans la région.
Comme tout concert de gens que vous aimez il y a toujours une crainte d'être déçu, que les conditions ne soient pas bonnes, que le public siffle...
Heureusement l'accueil est plutôt chaleureux mais le live n'était pas aussi parfait que les disques, le son pas toujours à la hauteur (ces infrabasses sismiques sur "Hands in the dark" tenaient du supplice) et le chant n'est pas objectivement très juste.
Mais on n'est pas à la Nouvelle Star et les limites vocales de Ruth Radalet (moulée dans une superbe robe à paillettes) la rendent encore plus touchante que sur disque.
Accompagnée d'un guitariste, un clavier et un batteurs jouant tout en retenue, elle arrive à de nombreuses reprises à restituer la magie de leur album "Night drive" avec une cold wave très minimaliste dynamisée par une étonnante ryhtmique italo disco.
Ca débute avec une version méconnaissable du "I'm on fire" de Springsteen puis quelques titres de leur dernier lp.
"Night drive", "In the city", Healer" sont progressivement plus relevées mais le climax est atteint avec une version fantastique d'"I want your love" qui soulève la foule encore chiche à cette heure.
Il finissent avec une autre reprise avec la même construction, "Running down the hills" qui arrive presque à faire oublier Kate Bush.
On sent le groupe humble voire effacé avant de partir mais proche de ses nouveaux fans, dont la ferveur est récompensée par de cd's gratuits, sympa comme tout vu la distribution hasardeuse de leur label en France.
D'ailleurs pour les amateurs de Italians do It Better qui lisent cette chronique, signalons que le groupe du clavieriste, Glass Candy sera en concert le 26/07 à Hyères au festival Midi.
Les deux artistes qui suivent sont signés sur le même label Warp mais évoluent dans des genres différents.
Flying Lotus est Américain (et a un autocollant Obama sur son laptop) et jour plutôt hip-hop.
Des beats concassés à la Dj Shadow, avec des productions qui lui sont propres et des samples trafiqués d'artistes plus ou moins pointus (Mr Oizo, Burial, mais aussi 50 cent).
Le set est intéressant, parfois impressionant, mais le hic c'est très souvent il s'arrète pour on ne sait quelle raison (les mauvaises langues diront pour se faire acclamer) et cela nuit un peu au rhythme de l'ensemble.
Au contraire la prestation plus electro de Clark ne souffre d'aucun temps mort, très technique, sophistiqué, bourrin mais pas trop.
Difficile d'accès sur disque, cet émule d'Aphex Twin est redoutable en live et en mix et prépare on ne peut mieux le terrain à la tête d'affiche du soir.
Le long mix (plus de 3 heures)de Laurent Garnier est sans doute le plus réussi du lot mais celui qui m'a le moins emballé, peu habitué aux sets techno purs et durs.
Le début house avec un sample de Nina Simone était bien agréable mais au bout d'une demi-heure, grosse lassitude, l'impression d'entendre toujours la même chose, avec des bpm toujours plus répétitifs.
Je laisse aux spécialistes le loisir de laisser leurs impressions, la foule était de toute façon à fond, faisant trembler la piste à en donner le tournis jusqu'à l'aube.
Pour cette nouvelle édition le festival Seconde Nature se déplace de la Fondation Vasarely à la Cité Du Livre.
Un endroit vaste presque aussi classe et idéal pour ce genre de manifestations car mi couvert mi plein air, pratique pour les fumeurs.
Un endroit vaste presque aussi classe et idéal pour ce genre de manifestations car mi couvert mi plein air, pratique pour les fumeurs.
A coté de l'amphitéatre et du bar il y a des projections vidéos et des animations très art-contemporain-on-comprend rien avec notament un gars dans une énorme bulle, euh oui, on va passer directement aux concerts.
Le groupe qui débute est celui pour lequel je fais principalement le déplacement, Chromatics truste en effet ma platine depuis des mois et c'est une vraie joie que leur première date Française soit dans la région.
Comme tout concert de gens que vous aimez il y a toujours une crainte d'être déçu, que les conditions ne soient pas bonnes, que le public siffle...
Heureusement l'accueil est plutôt chaleureux mais le live n'était pas aussi parfait que les disques, le son pas toujours à la hauteur (ces infrabasses sismiques sur "Hands in the dark" tenaient du supplice) et le chant n'est pas objectivement très juste.
Mais on n'est pas à la Nouvelle Star et les limites vocales de Ruth Radalet (moulée dans une superbe robe à paillettes) la rendent encore plus touchante que sur disque.
Accompagnée d'un guitariste, un clavier et un batteurs jouant tout en retenue, elle arrive à de nombreuses reprises à restituer la magie de leur album "Night drive" avec une cold wave très minimaliste dynamisée par une étonnante ryhtmique italo disco.
Ca débute avec une version méconnaissable du "I'm on fire" de Springsteen puis quelques titres de leur dernier lp.
"Night drive", "In the city", Healer" sont progressivement plus relevées mais le climax est atteint avec une version fantastique d'"I want your love" qui soulève la foule encore chiche à cette heure.
Il finissent avec une autre reprise avec la même construction, "Running down the hills" qui arrive presque à faire oublier Kate Bush.
On sent le groupe humble voire effacé avant de partir mais proche de ses nouveaux fans, dont la ferveur est récompensée par de cd's gratuits, sympa comme tout vu la distribution hasardeuse de leur label en France.
D'ailleurs pour les amateurs de Italians do It Better qui lisent cette chronique, signalons que le groupe du clavieriste, Glass Candy sera en concert le 26/07 à Hyères au festival Midi.
Les deux artistes qui suivent sont signés sur le même label Warp mais évoluent dans des genres différents.
Flying Lotus est Américain (et a un autocollant Obama sur son laptop) et jour plutôt hip-hop.
Des beats concassés à la Dj Shadow, avec des productions qui lui sont propres et des samples trafiqués d'artistes plus ou moins pointus (Mr Oizo, Burial, mais aussi 50 cent).
Le set est intéressant, parfois impressionant, mais le hic c'est très souvent il s'arrète pour on ne sait quelle raison (les mauvaises langues diront pour se faire acclamer) et cela nuit un peu au rhythme de l'ensemble.
Au contraire la prestation plus electro de Clark ne souffre d'aucun temps mort, très technique, sophistiqué, bourrin mais pas trop.
Difficile d'accès sur disque, cet émule d'Aphex Twin est redoutable en live et en mix et prépare on ne peut mieux le terrain à la tête d'affiche du soir.
Le long mix (plus de 3 heures)de Laurent Garnier est sans doute le plus réussi du lot mais celui qui m'a le moins emballé, peu habitué aux sets techno purs et durs.
Le début house avec un sample de Nina Simone était bien agréable mais au bout d'une demi-heure, grosse lassitude, l'impression d'entendre toujours la même chose, avec des bpm toujours plus répétitifs.
Je laisse aux spécialistes le loisir de laisser leurs impressions, la foule était de toute façon à fond, faisant trembler la piste à en donner le tournis jusqu'à l'aube.
4 juin 2008
Emission du 4 Juin 2008
BO DIDDLEY "Bo Diddley"
BO DIDDLEY "You can't judge a book by its cover"
SENOR COCONUT & HIS ORCHESTRA "Around the world"
JEAN CLAUDE ADES & VINCENT THOMAS "Shingaling"
KRAAK & SMAAK "Squeeze Me" (ft. Ben Westbeech)
FILUR "20 Lashes" (ft. Prins Nitram)
LEILA "Time To Blow" (With Terry Hall)
RATATAT "Mirando"
MISS KITTIN "Kittin is high"
CHROMATICS "Night drive"
FLYING LOTUS "Parisian Goldfish"
CLARK "See see"
KID CUDI "Day 'N' Nite" (Crookers Remix)
CROOKERS "Embrace The Martian"
Télécharger l'émission
BO DIDDLEY "You can't judge a book by its cover"
SENOR COCONUT & HIS ORCHESTRA "Around the world"
JEAN CLAUDE ADES & VINCENT THOMAS "Shingaling"
KRAAK & SMAAK "Squeeze Me" (ft. Ben Westbeech)
FILUR "20 Lashes" (ft. Prins Nitram)
LEILA "Time To Blow" (With Terry Hall)
RATATAT "Mirando"
MISS KITTIN "Kittin is high"
CHROMATICS "Night drive"
FLYING LOTUS "Parisian Goldfish"
CLARK "See see"
KID CUDI "Day 'N' Nite" (Crookers Remix)
CROOKERS "Embrace The Martian"
Télécharger l'émission
1 juin 2008
Etienne Daho
Dock des suds, 31 Mai 2008.
Autant être franc, plus jeune Daho ne faisait pas partie des artistes (majoritairement anglo-saxons) dont j'écoutais les albums et que je rêvais de voir en concert.
Mais il fait partie du cercle restreint des chanteurs Français à succès dont j'apprécie les tubes et l'attitude.
En gros même s'il y a écrit RTL 2 sur l'invit, le bonhomme est nettement plus fréquentable que cette horde de ringards apparus dans les années 80 et ne doit pas sa longévité au hasard mais bien à ses choix musicaux.
Sa carrière est un quasi sans faute de goût, et le fait qu'il ait débuté aux coté de groupes cultes tels que Marquis de Sade, Elli & Jacno et qu'il travailla ensuite avec des newcomers aussi confidentielsque Ginger Ale le rend encore plus intéressant.
C'est d'ailleurs avec une de ses collaborations les plus pointues qu'il débute avec l'ultra sensuel "Jungle pulse" composé avec les excellents Saint Etienne.
Un groove implacable qui met tout de suite dans l'ambiance, avec un gros son assez bien rendu par l'accoustique toujours incertaine de la salle.
Il est accompagné d'un groupe très pro (mention au guitariste) et d'une section de cordes très classe.
Ensuite c'est une alternance de titres enlevés et dansants avec des ballades Velvettiennes plus intimistes.
Coté pop imparable on est servi avec "Saudade", "Des attractions désastre" et le plus récent "Obsession" qui donne son nom à cette tournée.
Parmi les gros succès à l'applaudimètre, "Comme un Igloo", "Epaule tatoo" et "Week end à Rome" sont les plus repris en choeur par le public (un tiers milf, un tiers gay friendly et un tiers chauve).Cette dernière n'est d'ailleurs même pas jouée mais chantée accapella, un peu hilare.
Par contre on peut regretter l'impasse sur quelques incontournables comme "Bleu comme toi", "Duel au soleil", "Tombé pour la france" mais peut être estime t'il les avoir trop joué sur les précédentes tournées.
Parmi les titres les plus dépouillés, on apprécie de belles versions accoustiques de "Heures Hindoues", "Sur mon cou" (adapté de Genet) ou ce Grand sommeil à la basse très New Order.On atteint la grace avec l'orchestré "Le premier jour du reste de ta vie" et l'impressionant "Ouverture" peut être son plus beau titre.
Proche de son public, notre dandy présente certains morceaux avec des anecdotes croustillantes sur son dernier séjour en Espagne, ses excès passés ou encore sa collaboration avec la mangeuse d'hommes Marianne Faithfull.
La soirée se clotûre avec sa reprise de "Mon manège à moi" (j'aurai préféré "Comme un boomerang" mais bon pas de Dani à l'horizon) et "Cap Falcon" une évocation émouvante de sa petite enfance en Algérie.
Agréablement surpris par ce concert alors que j'avais pu lire des impressions mitigées ici et là, et je dois avouer que malgré sa longue durée (2h15) pas une seconde d'ennui et l'envie de se plonger dans son répertoire le moins connu ici bien représenté.
Autant être franc, plus jeune Daho ne faisait pas partie des artistes (majoritairement anglo-saxons) dont j'écoutais les albums et que je rêvais de voir en concert.
Mais il fait partie du cercle restreint des chanteurs Français à succès dont j'apprécie les tubes et l'attitude.
En gros même s'il y a écrit RTL 2 sur l'invit, le bonhomme est nettement plus fréquentable que cette horde de ringards apparus dans les années 80 et ne doit pas sa longévité au hasard mais bien à ses choix musicaux.
Sa carrière est un quasi sans faute de goût, et le fait qu'il ait débuté aux coté de groupes cultes tels que Marquis de Sade, Elli & Jacno et qu'il travailla ensuite avec des newcomers aussi confidentielsque Ginger Ale le rend encore plus intéressant.
C'est d'ailleurs avec une de ses collaborations les plus pointues qu'il débute avec l'ultra sensuel "Jungle pulse" composé avec les excellents Saint Etienne.
Un groove implacable qui met tout de suite dans l'ambiance, avec un gros son assez bien rendu par l'accoustique toujours incertaine de la salle.
Il est accompagné d'un groupe très pro (mention au guitariste) et d'une section de cordes très classe.
Ensuite c'est une alternance de titres enlevés et dansants avec des ballades Velvettiennes plus intimistes.
Coté pop imparable on est servi avec "Saudade", "Des attractions désastre" et le plus récent "Obsession" qui donne son nom à cette tournée.
Parmi les gros succès à l'applaudimètre, "Comme un Igloo", "Epaule tatoo" et "Week end à Rome" sont les plus repris en choeur par le public (un tiers milf, un tiers gay friendly et un tiers chauve).Cette dernière n'est d'ailleurs même pas jouée mais chantée accapella, un peu hilare.
Par contre on peut regretter l'impasse sur quelques incontournables comme "Bleu comme toi", "Duel au soleil", "Tombé pour la france" mais peut être estime t'il les avoir trop joué sur les précédentes tournées.
Parmi les titres les plus dépouillés, on apprécie de belles versions accoustiques de "Heures Hindoues", "Sur mon cou" (adapté de Genet) ou ce Grand sommeil à la basse très New Order.On atteint la grace avec l'orchestré "Le premier jour du reste de ta vie" et l'impressionant "Ouverture" peut être son plus beau titre.
Proche de son public, notre dandy présente certains morceaux avec des anecdotes croustillantes sur son dernier séjour en Espagne, ses excès passés ou encore sa collaboration avec la mangeuse d'hommes Marianne Faithfull.
La soirée se clotûre avec sa reprise de "Mon manège à moi" (j'aurai préféré "Comme un boomerang" mais bon pas de Dani à l'horizon) et "Cap Falcon" une évocation émouvante de sa petite enfance en Algérie.
Agréablement surpris par ce concert alors que j'avais pu lire des impressions mitigées ici et là, et je dois avouer que malgré sa longue durée (2h15) pas une seconde d'ennui et l'envie de se plonger dans son répertoire le moins connu ici bien représenté.
Inscription à :
Articles (Atom)